Le blog de mastertibo29

Le mec de Ben me propose de prendre son soumis en stage. Ben vient seul pour une séance de près de deux heures.

Humiliations, punitions à la demande de son maitre. Il s'en sort bien. Il rend compte à son mec....

J'espère qu'il reviendra en stage pour continuer à le dresser. Il a du potentiel...

 

Je le laisse décrire ce qu'il a subi:

 

Bonsoir Maîtres,

 

Comme convenu voici donc le compte-rendu de la séance d'hier.

 

Je dois d’abord avouer que j’étais très nerveux avant de commencer cette séance, la journée a été longue et je n’ai pour ainsi dire pas réussi à me concentrer au travail ce lundi !

 

A mon arrivée, comme la dernière fois, j'ai eu pour consigne d'aller directement dans le cagibi à l'entrée de l'appartement de Maître Tibo, et de me mettre dans la tenue de bâtard, à savoir: pieds nus, le bas du pantalon retroussé et torse nu. J'ai dû moi-même me mettre les bracelets de cuir et le collier de chaîne. Il a ensuite relié les bracelets, ce qui a fait de moi un bâtard menotté. Dans cette tenue, j'ai mis Maître Tibo à l'aise, à savoir lui enlever son manteau, sa veste, sa cravate et le déchausser. Ce n'est pas facile en étant menotté, et Maître Tibo m'a reproché d'être trop brusque lorsque je lui ai enlevé son manteau. Je m'en excuse.

 

Maître Tibo m'a annoncé le programme: ayant été désobéissant envers mon Maître, je devrais subir une longue séance d’humiliations et de punitions. Cela commence par des tâches ménagères ( je devrais passer l'aspirateur dans l'appartement), Maître Tibo s'amusera ensuite avec moi et enfin je recevrai ma punition.

 

 

Maître Tibo a enlevé ma ceinture et défait ma braguette avant de m'ordonnes de passer l'aspirateur dans plusieurs pièces. J'avais 15 minutes, pas une de plus, pour tout faire. Mon pantalon tombant de mes fesses et les menottes me contraignant, je me suis retrouvé dans une posture totalement humiliante à faire le ménage tout en me faisant tripoter et prendre en photo. Je me suis néanmoins hâté, et ai fini avant le délai donné : quelle erreur ! Nous avons ensemble fait le tour, j’avais fait le ménage comme un patachon, car il restait de gros morceaux de saleté au sol. J’ai dû les compter et me suis fait punir de 11 coups de bâton sur les fesses. Maître Tibo a été très bienveillant, puisque j’ai eu le droit de conserver mon caleçon pour cette première punition. Je vous présente mes humbles excuses pour ne pas avoir correctement rempli ma tâche.

 

J’ai ensuite été attaché par les poignets au mur, les bras étendus. Cette position était très inconfortable mais, paradoxalement, je me suis senti très à l’aise car à ma place et totalement offert. Maître Tibo m’a fait boire près de 2 litres d’eau, que je n’ai pas pissé comme vous l’espériez… J’ai gardé ma dignité, il m’en faut apparemment plus. Vous m’avez cagoulé et rasé entièrement le torse, puis écrit dessus « bâtard », me renvoyant directement à ma condition. Cette sensation de la lame du rasoir, ainsi offert m’a mis en émoi. J’ai ensuite eu le droit aux pinces sur mes seins, qui m’ont fait mal mais que j’ai essayé de supporter en silence, j’espère ne pas vous avoir déçu.

 

Comme je découvrirai cette facette de votre personnalité au fil de cette séance, vous m’avez alors pour la première fois montré votre douceur bienveillante, en embrassant et caressant mes têtons après l’enlèvement des pinces. Quelle sensation de douceur et de réconfort ! Bien que ridiculement attaché, je me suis senti en sécurité, car comme vous me l’avez fait répéter « je suis un bâtard et je dois faire confiance à mon Maitre ».

 

Vous m’avez ensuite détaché et proposé une pause, durant laquelle j’ai dû vous lécher les pieds pendant que vous buviez une bière. Vous m’avez ensuite demandé de vous rejoindre, vous assis sur un lit, moi devant vous, mes fesses sur vos cuisses et les avants bras posés au sol. Vous m’avez, pour votre simple plaisir, donné des fessées, dont une très forte pour finir, qui m’a fait tressauter ! Vous vous êtes ensuite amusé avec mon trou, position la plus humiliante de la soirée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous m’avez ensuite pris dans vos bras, 2è marque de douceur de la séance, moi à genoux et vous assis. Cela à la fois pour me réconforter et me faire comprendre que LA punition, celle pour laquelle mon Maître m’avait envoyé en stage allait arriver : le fouet. Le fouet, pour ne pas avoir terminé dans les temps une punition que mon Maître m’avait ordonné. 25 coups de fouet. J’avais le choix : être attaché ou non, si je choisissais de ne pas être attaché, la punition repartirait à zéro si je bougeais. J’ai choisi d’être attaché, et j’ai bien fait. Je ne suis pas encore un assez bon bâtard pour tolérer le fouet sans bouger. Un futur objectif, peut-être.

 

 

 

Me voici donc les bras en croix, cette fois face au mur. J’ai compté les coups dans ma tête, c’est interminable, certains coups me font mal mais je serre les dents. Vous m’avez pour la troisième fois montré votre douceur, en me caressant la peau après la morsure du fouet : cette sensation m’a considérablement apaisé.

 

J’ai terminé la séance une nouvelle fois attaché, tandis que vous me caressiez la bite. J’ai eu à ce moment 2 orgasmes sans jouir, c’est pour cela que je me débattais énormément ensuite, le fait de continuer à jouer avec mon gland le rendait extrêmement sensible.

Vous m’avez ensuite laissé seul dans la pièce, ainsi attaché, lorsque vous répondiez au téléphone. Drôle de sentiment d’être ainsi oublié… Douce sensation.

 

J’espère que ce compte-rendu reflète bien le déroulé de la séance. J’espère vous avoir satisfait. Maître Tibo, je vous remercie pour vos méthodes, Maître JP je vous remercie du fond du cœur pour votre confiance. Je vous laisse décider entre Maître si de nouveaux stages de discipline ou de de maintien de la discipline sont nécessaires, sachez que je me tiens à votre disposition.

 

Merci beaucoup., Maîtres, en m’humiliant ainsi, d’avoir choisi de me remettre dans la bonne voie d’éducation du bâtard que je suis.